Ce poème t'a-t-il touché ? Qui que vous soyez, vous qui m'avez fait naître, Qu'on vous nomme hasard, force, matière ou dieux, Accomplissez en moi, qui n'en suis pas le maître, Les destins sans refuge, aussi vains qu'odieux.Faites, faites de moi tout ce que bon vous semble, Ouvriers inconnus de l'infini malheur, Je viens de vous maudire, et voyez si je tremble, Prenez ou me laissez mon souffle et ma chaleur !Et si je dois fournir aux avides racines De quoi changer mon être en mille êtres divers, Dans l'éternel retour des fins aux origines, Je m'abandonne en proie aux lois de l'univers. Mais que suis-je ? Sur notre site, vous pouvez trouver un grand recueil de poèmes de plus de 1000 poètes. Faites, faites de moi tout ce que bon vous semble, Ouvriers inconnus de l’infini malheur, Je viens de vous maudire, et voyez si je tremble, Prenez ou me laissez mon souffle et ma chaleur ! Dans le poème, il évoque une douleur à la fois physique et psychologique. Ou l'horreur d'un calice imposé par un dieu ?Est-ce l'élan qu'imprime au corps l'âme envolée ? Le Phédon jette en l'âme un céleste reflet, Mais rien n'est plus suave au cœur que l'Évangile. René Armand François Prudhomme (n. 16 martie 1839, Paris – d. 6 septembrie 1907, Châtenay-Malabry ), ( Sully Prudhomme ), a fost primul laureat al Premiului Nobel pentru Literatură la 10 decembrie 1901 . 1839, Châtenay Malabry (bei Paris) 7. Et demain quand je t’aurai suivie, Quel ami me promet de ne pas t’oublier ? Je n’interroge plus, je subis désormais. März 1839 in Paris; 7. Des mots ! Des mots ! 4 „Trois Melodies sur poèmes de Jules Lemaître et Sully Prudhomme”: Le désert Songtext von George Enescu mit Lyrics, deutscher Übersetzung, Musik-Videos und Liedtexten kostenlos auf Songtexte.com Sur la Mort. Serais-je épouvanté de te laisser sous terre ? Bords frottés. il cherche, et la Misère est là ! Puisque je n’ai pas pu, disciple de tant d’autres, Apprendre ton vrai sort, ô morte que j’aimais, Arrière les savants, les docteurs, les apôtres. He was educated at the Lycée Bonaparte, where after a time he took his degree as Bachelier ès Sciences. Qu'il lui crie : « A nous deux ! Une sélection de poèmes écrits par Sully Prudhomme poète français, prix Nobel de littérature, né à Paris en1839 et mort à Châtenay-Malabry en 1907. 24 Lectures Vue de la sépulture. 1907; gehörte zum Kreis der Parnassiens. Sous tes paupières, les perles d'un chagrin Sourdent En continuant à naviguer sur le site, vous acceptez notre. Sa loi qui par le meurtre a fait le choix des races, Abominable excuse au carnage que font Des peuples malheureux les nations voraces, De tout aveugle espoir m’a vidé l’âme à fond ; Je succombe épuisé, comme en pleine bataille Un soldat, par la veille et la marche affaibli, Sans vaincre, ni mourir d’une héroïque entaille, Laisse en lui les clairons s’éteindre dans l’oubli ; Pourtant sa cause est belle, et si doux est d’y croire Qu’il cherche en sommeillant la vigueur qui l’a fui ; Mais trop las pour frapper, il lègue la victoire Aux fermes compagnons qu’il sent passer sur lui. Les vaines tendresses Sully Prudhomme, poète et essayiste … Avec elle longtemps, de toute ma pensée Et de tout mon cœur, j’ai lutté corps à corps, Mais sur son œuvre inique, et pour l’homme insensée, Mon front et ma poitrine ont brisé leurs efforts. Passez au mode éclairé qui est plus agréable pour vos yeux pendant la journée. "Sur la mort" de Prudhomme est un poème classique extrait du recueil Les vaines tendresses. I.On ne songe à la Mort que dans son voisinage : Au sépulcre éloquent d'un être qui m'est cher, J'ai, pour m'en pénétrer, fait un pèlerinage, Et je pèse aujourd'hui ma tristesse d'hier.Je veux, à mon retour de cette sombre place Où semblait m'envahir la funèbre torpeur, Je veux me recueillir et contempler en face La mort, la grande mort, sans défi, mais sans peur.Assiste ma pensée, austère poésie Qui sacres de beauté ce qu'on a bien senti ; Ta sévère caresse aux pleurs vrais s'associe, Et tu sais que mon cœur ne t'a jamais menti.Si ton charme n'est point un misérable leurre, Ton art un jeu servile, un vain culte sans foi, Ne m'abandonne pas précisément à l'heure Où, pour ne pas sombrer, j'ai tant besoin de toi.Devant l'atroce énigme où la raison succombe, Si la mienne fléchit tu la relèveras ; Fais-moi donc explorer l'infini d'outre-tombe Sur ta grande poitrine entre tes puissants bras ;Fais taire l'envieux qui t'appelle frivole, Toi qui dans l'inconnu fais crier des échos Et prêtes par l'accent, plus sûr que la parole, Un sens révélateur au seul frisson des mots.Ne crains pas qu'au tombeau la morte s'en offense, Ô poésie, ô toi, mon naturel secours, Ma seconde berceuse au sortir de l'enfance, Qui seras la dernière au dernier de mes jours.II.Hélas ! In seiner Gedankenlyrik behandelte er wissenschaftliche,… Certes, dans ma pensée, aux autres invisible, Ton image demeure impossible à ternir, Où t’évoque mon cœur tu luis incorruptible, Mais serais-tu sans moi, hors de mon souvenir ? Je veux, à mon retour de cette sombre place Où semblait m’envahir la funèbre torpeur, Je veux me recueillir et contempler en face La mort, la grande mort, sans défi, mais sans peur. French poet, born in Paris on the 16th of March 1839. In character sincere and melancholic, he was linked to the Parnassus school, although, … Ont-ils joint leur durée à l’ancienne durée ? Poésie française.fr Recueil de poésies des meilleurs poètes français et étrangers … Vous pouvez le télécharger et l’imprimer au format PDF grâce à YouScribe. Je n'interroge plus, je subis désormais.Quand la nature en nous mit ce qu'on nomme l'âme, Elle a contre elle-même armé son propre enfant ; L'esprit qu'elle a fait juste au nom du droit la blâme, Le cœur qu'elle a fait haut la méprise en rêvant.Avec elle longtemps, de toute ma pensée Et de tout mon cœur, j'ai lutté corps à corps, Mais sur son œuvre inique, et pour l'homme insensée, Mon front et ma poitrine ont brisé leurs efforts.Sa loi qui par le meurtre a fait le choix des races, Abominable excuse au carnage que font Des peuples malheureux les nations voraces, De tout aveugle espoir m'a vidé l'âme à fond ;Je succombe épuisé, comme en pleine bataille Un soldat, par la veille et la marche affaibli, Sans vaincre, ni mourir d'une héroïque entaille, Laisse en lui les clairons s'éteindre dans l'oubli ;Pourtant sa cause est belle, et si doux est d'y croire Qu'il cherche en sommeillant la vigueur qui l'a fui ; Mais trop las pour frapper, il lègue la victoire Aux fermes compagnons qu'il sent passer sur lui.Ah ! par René-François Sully Prudhomme. - Ils ont la paix quand ils se couchent, - Et le néant quand ils sont morts. Sully Prudhomme zemřel roku 1907 v Châtenay-Malabry nedaleko Paříže. Read "Stances et Poèmes" by Sully Prudhomme available from Rakuten Kobo. Lisez, notez, partagez et appréciez la poésie! 0 Points Nécessaire ou créé je réclame, vous dis-je, Et vous les ignorez, ma cause et mon pourquoi. J’ai trop songé sous les blêmes ténèbres Où les astres ne sont que des bûchers lointains, Pour croire qu’échappé de ses voiles funèbres L’homme s’envole et monte à de plus beaux matins ; J’ai trop vu sans raison pâtir les créatures Pour croire qu’il existe au delà d’ici-bas Quelque plaisir sans pleurs, quelque amour sans tortures, Quelque être ayant pris forme et qui ne souffre pas. Sur la mort, poème de Sully Prudhomme (Les vaines tendresses) : I On ne songe à la mort que dans son voisinage : Au sépulcre éloquent d’un être qui m’est cher, J’ai, pour m’en pénétrer, fait un pèlerinage, Et je pèse aujourd’hui ma tristesse d’hier. Assiste ma pensée, austère poésie Qui sacres de beauté ce qu’on a bien senti ; Ta sévère caresse aux pleurs vrais s’associe, Et tu sais que mon cœur ne t’a jamais menti. Poème Le volubilis. Sur la mort, est un poème de René-François Sully Prudhomme. Sully Prudhomme, tên thật là René-Francois-Armand Prudhomme, (tiếng Pháp: [syli pʀydɔm]; 16 tháng 3 năm 1839 - 7 tháng 9 năm 1907) là một nhà thơ Pháp và là một thành viên của Viện Hàn lâm Pháp, người đầu tiên trên thế giới đoạt giải Nobel Văn học Lieduri pentru bas și pian, op. Ce site est dédié à la poésie et aux personnes qui rendent la poésie possible: les poètes et leurs lecteurs. Faites-moi croire enfin dans le néant ou l’être, Pour elle et tous les morts que d’autres ont aimés, Ayez pitié de moi, car j’ai faim de connaître, Mais vous n’enseignez rien, verbes inanimés ! Le moteur de la contre-offensive libérale en Europe a été une réaction contre l’irresponsabilité. La Doctrines sans nombre où l’été de mon âge Au vent froid du discours s’est flétri sans mûrir, De mes veilles sans fruit réparez le dommage, Prouvez-moi que la morte ailleurs doit refleurir. [sylipry dɔm], eigentlich René François Armand Prudhomme, französischer Dichter, * Paris 16. 242 pages. «Sur l'origine de la vie terrestre» en Revue de Métaphysique et de Morale, t. 1, 1893, p. 324-345; Vinclos externos. René Armand François Prudhomme, dit Sully Prudhomme (orthographié également parfois Sully-Prudhomme), né à Paris le 16 mars 1839 et mort à Châtenay-Malabry le 6 septembre 1907, est un poète français, premier lauréat du Prix Nobel de littérature en 1901. C'est ici. 3. Poésies, René François Armand Prudhomme dit Sully Ni vous, dogmes cruels, insensés que vous êtes, Qui du juif magnanime avez couvert la voix ; Ni toi, qui n’es qu’un bruit pour les cerveaux honnêtes, Vaine philosophie où tout sombre à la fois ; Toi non plus, qui sur Dieu résignée à te taire Changes la vision pour le tâtonnement, Science, qui partout te heurtant au mystère Et n’osant l’affronter, l’ajournes seulement. Ou contre le néant un héroïque effort ? Ou contre le néant un héroïque effort ? He was the first winner of the Nobel Prize in Literature in 1901. Vous trouverez ici toutes les collections que vous avez créées auparavant. Mais que suis-je ? Heureux les corps ! On ne songe à la Mort que dans son voisinage : Au sépulcre éloquent d’un être qui m’est cher, J’ai, pour m’en pénétrer, fait un pèlerinage, Et je pèse aujourd’hui ma tristesse d’hier. Si ton charme n’est point un misérable leurre, Ton art un jeu servile, un vain culte sans foi, Ne m’abandonne pas précisément à l’heure Où, pour ne pas sombrer, j’ai tant besoin de toi. S'il ne restait plus rien pour m'entendre en ce lieu, Même après mainte année y reviendrais-je encore, Répéter au néant un inutile adieu ?Serais-je épouvanté de te laisser sous terre ? René Armand François Prudhomme, dit Sully Prudhomme (orthographié également parfois Sully-Prudhomme ), né à Paris le 16 mars 1839 et mort à Châtenay-Malabry le 6 septembre 1907, est un poète français, premier lauréat du prix Nobel de littérature en 1901. Ne crains pas qu’au tombeau la morte s’en offense, Ô poésie, ô toi, mon naturel secours, Ma seconde berceuse au sortir de l’enfance, Qui seras la dernière au dernier de mes jours. Sully Prudhomme was a member of the French Academy from 1881 until his death in 1907. Je ne puis, je subis des preuves que j’ignore. Si vous n’avez pas de compte Créer un compte. Quand la nature en nous mit ce qu’on nomme l’âme, Elle a contre elle-même armé son propre enfant ; L’esprit qu’elle a fait juste au nom du droit la blâme, Le cœur qu’elle a fait haut la méprise en rêvant. Délicat embaumeur de la raison fragile, Il sent la Dílo Poezie. Que m’importe à moi ! Et navré de partir, sans pouvoir t’assister Dans la nuit formidable où tu gis solitaire, Penserais-je à fleurir l’ombre où tu dois rester ? I. Captcha loading...Afin de pouvoir ignorer le CAPTCHA, merci d'autoriser le JavaScript. Pour l'un la vie est un prodige, Pour l'autre un phénomène. Si j’ose comparer le déclin de ma vie 33260 La Teste (Gironde, France), La poésie et la musique sont les suprêmes délices des choses. Avec le poème de Prudhomme, vous pourrez faire un commentaire ou bien comprendre la signification des … Birthplace: Paris, France Location of death: Châtenay, France Cause of death: unspecifie. » et que sa main virile S'acharne sans merci contre ce flanc stérile Qu'il s'agit avant tout d'atteindre et de percer. T'as quelque chose à dire, une réaction ? Est-ce l’élan qu’imprime au corps l’âme envolée ? On ne songe à la Mort que dans son voisinage : Au sépulcre éloquent d’un être qui m’est cher, J’ai, pour m’en pénétrer, fait un pèlerinage, Et je pèse aujourd’hui ma tristesse d’hier. 6, rue François Legallais adieu, âme, enfant, épreuve, espoir, foi, larmes, malheur, mort, peur, souvenir, temps, tombeau, tristesse. Ou dois-tu quelque part, immuable et sacrée, Dans l’absolu survivre à ta chair qui n’est plus ? September 1907 in Châtenay-Malabry) war ein französischer Schriftsteller. Naguère ce problème où mon doute s’enfonce, Ne semblait pas m’atteindre assez pour m’offenser ; J’interrogeais de loin, sans craindre la réponse, Maintenant je tiens plus à savoir qu’à penser. Pentru alte sensuri, vedeți Sully. Tampon sur la page de titre. 0 AVIS, CRITIQUES ET ANALYSES. . Read "Les vaines tendresses" by Sully Prudhomme available from Rakuten Kobo. AKA René François Armand Prudhomme. René-François Sully Prudhomme. Je cherche à croire sans effroi Que, ta vie et ta chair ayant rompu leur trame, Aujourd’hui, morte aimée, il n’est plus rien de toi. Synopsis : poème sur la mort, le temps qui passe taché par le sang des guerres et les poèmes de ceux qui ne reviendront jamais. In-12. La mort, la grande mort, sans défi, mais sans peur. I. . It was later edited and republished in Nobel Lectures. Sein bekanntestes Gedicht ist Le Vase brisé (1865). Stances et Poèmes (1865, Stance), Les épreuves (1866, Zkoušky osudu), Les solitudes (1869, Samoty). Pour toi s'enchaînent-ils aux ans chez nous vécus ? Sonnet. (fr) Pachina de l'Académie Française, Sully Prudhomme. Sully Prudhomme [syˈli pʀyˈdɔm] (eigentlich René François Armand Prudhomme; * 16. Ah ! Ou l’horreur d’un calice imposé par un dieu ? Et demain quand je t'aurai suivie, Quel ami me promet de ne pas t'oublier ?Depuis longtemps ta forme est en proie à la terre, Et jusque dans les cœurs elle meurt par lambeaux, J'en voudrais découvrir le vrai dépositaire, Plus sûr que tous les cœurs et que tous les tombeaux.IV.Les mains, dans l'agonie, écartent quelque chose. Poèmes: i I.On ne songe à la Mort que dans son voisinage : Au sépulcre éloquent d'un être qui m'est cher, J'ai, pour m'en pénétrer, fait un pèlerinage, Et je pèse Je veux, à mon retour de cette sombre place Où semblait m’envahir la funèbre torpeur, Je veux me recueillir et contempler en face La mort, la grande mort, … Partager. Devant l’atroce énigme où la raison succombe, Si la mienne fléchit tu la relèveras ; Fais-moi donc explorer l’infini d’outre-tombe Sur ta grande poitrine entre tes puissants bras ; Fais taire l’envieux qui t’appelle frivole, Toi qui dans l’inconnu fais crier des échos Et prêtes par l’accent, plus sûr que la parole, Un sens révélateur au seul frisson des mots. Pourtant je ne sais rien, rien, pas même ton âge : Mes jours font suite au jour de ton dernier soupir, Les tiens n’ont-ils pas fait quelque immense passage Du temps qui court au temps qui n’a plus à courir ? Eh ! N’es-tu plus qu’une chose au vague aspect de femme, N’es-tu plus rien ? Dans ce poème il aborde la question d'une douleur suite à la perte d'un un être cher II) Le second poème « L'agonie » est écrit par René Armand François Prudhomme un poète français né à Paris le 16 mars 1839, et premier lauréat du Prix Nobel de littérature en 1901. Qui que vous soyez, vous qui m’avez fait naître, Qu’on vous nomme hasard, force, matière ou dieux, Accomplissez en moi, qui n’en suis pas le maître, Les destins sans refuge, aussi vains qu’odieux. A leur tour, le front haut, l'Ignorance et le Vice, L'un sur l'autre appuyé, l'attendent dans la … Le coucher du soleil. Sully Prudhomme. www.poesie-francaise.fr Born in Paris, Prudhomme originally studied to be an engineer, but turned to philosophy and later to poetry; he declared it as his intention to create scientific poetry for modern times. Bonne mort, est un poème de René-François Sully Prudhomme. Résidence Captal C401 Une sélection de poèmes sur le thème de la mort, proposés par le site de poésie française, poetica.fr. Le narrateur vit les derniers instant de sa vie, donc il souffre. Légère cassure sur le second plat. Est-ce aux mots d'ici-bas l'impatient adieu Du mourant qui pressent sa lente apothéose ? Ou le jeu machinal de l'aiguille affolée, Quand le balancier tombe, oublié du ressort ?Naguère ce problème où mon doute s'enfonce, Ne semblait pas m'atteindre assez pour m'offenser ; J'interrogeais de loin, sans craindre la réponse, Maintenant je tiens plus à savoir qu'à penser.Ah ! René François Armand Prudhomme was a French poet and essayist. (fr) Poesies.net: Sully Prudhomme. Er war der erste Nobelpreisträger für Literatur. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Parnassian poet. Dos cuir bleu nuit, titres et filets dorés, papier noir et bleu. Didier Glehello Sur la mort : Évadez-vous en lisant le poème "Sur la mort" écrit par René-François Sully Prudhomme (1839-1907) en 1875. Corriger le poème. en) Pachina de l'Instituto Nobel, Premio Nobel de Literatura de 1901. Eh ! Recueil de poésies des meilleurs poètes français et étrangers d'hier à aujourd'hui. Ou bien qu’anéantie, à l’abri de l’épreuve, Elle n’a plus jamais de calvaire à gravir, Ou que, la même encor sous une forme neuve, Vers la plus haute étoile elle se sent ravir ! POEME: R260110972: 1888. Assiste ma pensée, austère poésie Qui sacres de beauté ce qu’on a bien senti ; Ta sévère caresse aux pleurs vrais s’associe, Et tu sais que mon cœur ne t’a jamais menti. Est-ce aux mots d’ici-bas l’impatient adieu Du mourant qui pressent sa lente apothéose ? Byl pochován na pařížském hřbitově Père-Lachaise. C'est aux premiers regards portés, En famille, autour de la table, Sur les sièges plus écartés, Que se fait l'adieu véritable. (Georges Clemenceau). Lire plus tardAjouter aux FavorisAjouter à ma collection. Ah ! Relié demi-cuir. Ou dois-tu quelque part, immuable et sacrée, Dans l'absolu survivre à ta chair qui n'est plus ?Certes, dans ma pensée, aux autres invisible, Ton image demeure impossible à ternir, Où t'évoque mon cœur tu luis incorruptible, Mais serais-tu sans moi, hors de mon souvenir ?Servant de sanctuaire à l'ombre de ta vie, Je la préserve encor de périr en entier. Incrédule à son propre deuil, On regarde au fond de la tombe, Sans rien comprendre à ce cercueil Sonnant sous la … 9. René Armand François Prudhomme, dit Sully Prudhomme (orthographié également parfois Sully-Prudhomme), né à Paris le … Et si je dois fournir aux avides racines De quoi changer mon être en mille êtres divers, Dans l’éternel retour des fins aux origines, Je m’abandonne en proie aux lois de l’univers. Que m'importe à moi ! Littérature française Poème - Sur la mort est un poème de René-François Sully Prudhomme extrait du recueil Les vaines tendresses (1875). Vers de 11 pieds. On ne songe à la Mort que dans son voisinage : Au sépulcre éloquent d'un être qui m'est cher, J'ai, pour m'en pénétrer, fait un pèlerinage, Et je pèse aujourd'hui ma tristesse d'hier. René-François Sully Prudhomme par René-François Sully Prudhomme. Lapoesie.org est un site de poésie gratuit. Depuis longtemps ta forme est en proie à la terre, Et jusque dans les cœurs elle meurt par lambeaux, J’en voudrais découvrir le vrai dépositaire, Plus sûr que tous les cœurs et que tous les tombeaux. Aidez-nous à constituer la collection de poésie contemporaine la plus populaire sur Internet! Biographie Né au 34 rue du Faubourg Poissonnière. Et navré de partir, sans pouvoir t'assister Dans la nuit formidable où tu gis solitaire, Penserais-je à fleurir l'ombre où tu dois rester ?III.Pourtant je ne sais rien, rien, pas même ton âge : Mes jours font suite au jour de ton dernier soupir, Les tiens n'ont-ils pas fait quelque immense passage Du temps qui court au temps qui n'a plus à courir ?Ont-ils joint leur durée à l'ancienne durée ? Servant de sanctuaire à l’ombre de ta vie, Je la préserve encor de périr en entier. Indiquez-nous votre adresse, nous vous enverrons un email pour regénérer un mot de passe. Toute forme est sur terre un vase de souffrances, Qui, s’usant à s’emplir, se brise au moindre heurt ; Apparence mobile entre mille apparences Toute vie est sur terre un flot qui roule et meurt. Pour toi s’enchaînent-ils aux ans chez nous vécus ? Des mots ! Shares. Je veux, à mon retour de cette sombre place. Sully Prudhomme. This autobiography/biography was written at the time of the award and first published in the book series Les Prix Nobel . Incrédule à son propre deuil, On regarde au fond de la tombe, Sans rien comprendre à ce cercueil Sonnant sous la terre qui tombe.