Simone Veil, rescapée de la Shoah et ancienne présidente de la Fondation pour la mémoire de la Shoah a été honorée pour l'ensemble de sa carrière par plusieurs villes de France : rue Simone-Veil à Briey, inaugurée le 12 juin 2006[185], boulevard Simone-Veil à Nice, depuis 2013[186], pont Simone-Veil à Bordeaux (en construction), dont l'ouverture est prévue en 2020. La ville de Thionville a nommé en 2009 une place en l'honneur du rabbin Henri Levy mort à Auschwitz[183]. Voir, La récente rue de la synagogue de Valognes réfère à un ancien lieu-dit « La synagogue ». Il faut préciser qu'il est aussi fort possible que ce nom ait été porté par des non-juifs, notamment dans les régions à fortes communautés protestantes, ces dernières donnant fréquemment des prénoms tirés de l'Ancien Testament, comme à Alixan justement. Abittan. Other readers will always be interested in your opinion of the books you've read. Adoption de noms à Amsterdam, en 1811 et 1826 chefs de familles et enfants. S'ils sont, comme nous le croyons, d'origine provençale, il s'agirait de noms formés de l'élément «nat » ou «nasc » précédé de l'adverbe «bona ». ); -un nom français, d'oïl ou d'oc, employé dans la vie sociale en milieu chrétien. De même, la ville de Metz a nommé celle où se trouve la synagogue de la ville, rue du rabbin Élie Bloch[179], mort à Auschwitz. Certains patronymes portés par des Juifs sont-ils moins «français» que bien des noms bretons, basques, corses ou alsaciens ? Abarbanel. Répondre Supprimer bona : J. Anglade, dans sa «Grammaire de l'ancien provençal » (Paris, 1921, p. 354, note 1), donne «bona » comme adverbe équivalent à «bona hora » ; le sens en est «heureusement, sous d'heureux auspices » (E. Levy, p. 50). On trouve également d'autres graphies de « juiverie » comme la « Juerie » à Grazay et des ruines appelées « la Juifferie » au Mesnil-Aubert[2]. Le cap Lévi ou Lévy, dans le département de la Manche n'a pas non plus d’étymologie juive. Les juifs de France, au Moyen Âge, étaient généralement porteurs de deux noms : -un nom juif employé dans le cadre de la vie religieuse (circoncision, cérémonie de la «bar mitsva » à 13 ans, mariage, etc. Aboudara. Une faible proportion de ces noms y sont portés par des Juifs. À Metz, la rue de la Juiverie s'appelle En Jurue[55]. Il existait autrefois une rue de Jérusalem à Paris, assez connue puisque s'y trouvait l'ancienne préfecture de police. Hagenbach[76], Hannogne-Saint-Rémy, Haute-Amance, Hautmont, Havrincourt, Hohengœft, Honnecourt-sur-Escaut, Huppy, Ingersheim[77], Jeanménil, Joigny[5], Joigny-sur-Meuse, Kingersheim, Krautergersheim[78], Laferté-sur-Aube, Lafresguimont-Saint-Martin, Lagnieu[79], Lametz, Landifay-et-Bertaignemont, Landouzy-la-Ville, Laperrière-sur-Saône, Lays-sur-le-Doubs, Ligny-le-Châtel, Lingolsheim[80], Livry-sur-Seine[81], Longueville (Calvados), Loye-sur-Arnon, Marigny-le-Châtel, Maroilles (Nord), Marolles-sous-Lignières, Marseille (traverse du Cimetière des Juifs), Matougues, Maulévrier, Mécrin, Merlieux-et-Fouquerolles, Mervent, Mézangers, Mignères, Mignières, Milly-la-Forêt[82], Mommenheim[83], Mons (Charente) (Prairie des Juifs), Montcenis, Montebourg[2], Montgenost, Monthermé, Montmartin-sur-Mer[2], Montmorency-Beaufort, Montreuil (Pas-de-Calais)[84], Montreuil-l'Argillé[2], Moyen, Mulhouse[85], Mussy-sur-Seine[86], Mutzig[87], Nettancourt, Neuillé-Pont-Pierre, La Neuville-à-Maire, La Neuville-au-Pont, Niedermodern, Voir, La synagogue d'Avignon se situe place de Jérusalem. À La Canourgue (Lozère) existe des lieux-dits Booz et Salmon[136], dont l'origine remonterait à une présence juive médiévale[137]. Jugeals-Nazareth, en Corrèze, est intéressant à un double titre : Nazareth évoque ici le séjour en Palestine de Raymond 1er de Turenne lors des Croisades[175]. C’est notamment grâce à cette activité que l’armement granvillais se développe. », Salih Akin, « Pour une typologie des processus redénominatifs », dans, La plaque présente des fautes d'orthographe : il s'agit en fait de Jacob Meyer, grand-rabbin de Strasbourg (1739-1830) Voir, La synagogue fait aujourd'hui partie d'un atelier de menuiserie. Noms juifs francisés, paraissant sous la forme de diminutif, et qui pourraient être envisagés comme des surnoms. Abraham. Abihsira. Plusieurs municipalités commémorent la Shoah à travers le vocable des voies. On retrouve ce b étymologique (latin "faber") dans la variante Lefébure (76, 62), due à la confusion graphique entre v et u. À Avignon, une rue porte le nom d'Abraham Farissol, un savant juif du XVe siècle né dans cette ville[167]. Index des noms et patronymes incluant les épouses et veuves connues. Par le jardin Ilan-Halimi, la ville de Paris honore la mémoire d’Ilan Halimi (1982-2006), la jeune victime du gang des barbares. Aboudaram. Selon une hypothèse controversée, Pointe-à-Pitre devrait son nom à un pêcheur juif hollandais établi à la Guadeloupe au XVIIe siècle. Voir E. Semichon, « Histoire de la ville d'Aumale », tome II, Paris, 1862, page 70, C'est à Blois que des Juifs furent pour la première fois jugés et condamnés pour un, En 1492, les Juifs chassés d’Espagne, arrivent à Granville. Beaucoup notamment rappellent la présence des Juifs avant leur expulsion du royaume au XIVe siècle. Il est très rapidement interdit de faculté de médecine en raison des lois raciales de Vichy. Abizmil. Les prénoms qui suivent n'ont pas tous à proprement parler une origine arabe. Whether you've loved the book or not, if you give your honest and detailed thoughts then people will find new books that are right for them. indique l'utilisation du terme juif Plusieurs rabbins sont honorés par des rues ou places. À Conteville (Eure), Équeurdreville-Hainneville, Fermanville, Le Guislain et Planquery existent des hameaux ou lieux-dits de la Judée[1]. Abramoff. Les noms de familles Juifs marocains francisés. ; Pour les articles sur les personnes portant ces prénoms, consulter la liste générée automatiquement. Abettan. Pour trouver un Dictionnaire des noms de famille Juifs ici . Enfin, l'actuelle rue Bernard-Mulé, alors hors des murs, s'est appelée chemin des Juifs, puis rue des Juifs, à la suite de l'installation probable de Juifs, chassés de leur quartier par le grand incendie de 1463, avec synagogue et cimetière, au-delà de la porte Montolieu[53]. Envoyez-moi le sens des noms que vous connaissez, merci. Ces villes ou villages sont représentés sur la carte de France des rues des Juifs. Abramovici. Ces deux noms sont portés par des juifs du Sud de la France et d'Espagne. Abbas. Cet article recense les prénoms d'origine arabe, ou usités dans le monde arabophone. Abentsour. La Picardie. Celui de Colmar, Judenloch Weg, commémore le massacre des Juifs à Colmar en 1348[131]. Aller continuez à chercher "les juifs" mais arrivera un jour ou vous le regretterai. Il existe une rue juive dans les villes ou villages suivants : Bazouges-sur-le-Loir[116], Bonnefontaine (Jura), Chaudenay (Saône-et-Loire), Faugères (Hérault), Les Rosiers-sur-Loire et Saumur[117]. À Avignon, les rues Abraham[33] et Jacob rappellent aussi l'ancienne carrière. En voici quelques exemples pour la France : -Bonanatus filius Bonifilii [Marseille, 1248] (Blancard, II, 27 et 147). Les synagogues en France datent très rarement d'avant le XIXe siècle. Découvrez les naissances du nom de famille JUIF en France entre 1891 et 1915; Et les départements de plus forte naissance: Haute Saône, Doubs, Saône et Loire, ; Abettan. Aaron. À Clermont-Ferrand existe une rue Fontgiève, au centre d'un quartier de ce nom, qui signifie la fontaine des Juifs[48]. Abahel. This file is licensed under the Creative Commons Attribution-Share Alike 4.0 International license. On trouve des rues de la synagogue à Aouste-sur-Sye[146], Bollwiller[147], Cattenom[148], Dijon[149], Étain[150], Frœningen[151], Garancières, Hagenthal-le-Bas[152], Hirsingue[153], Horbourg-Wihr[95], Insming[154], Issenheim[155], Lingolsheim[80], Marmoutier (Bas-Rhin) [156], Meudon, Montbéliard Mulhouse[157] où une autre rue le long de la synagogue s'appelle rue des Rabbins, Peyrehorade[158], Reichshoffen[159], et à Saverne[160], Troyes[161] et à Valognes[162], des impasses de la synagogue à Schaffhouse-sur-Zorn[163] et à Habsheim[76] mais une place de la synagogue à Bischheim[164] et une avenue de la synagogue à Avignon[165]. Les rues de la synagogue reflètent donc, à quelques exceptions près, une présence juive généralement plus récente que les rues des Juifs ou les rues de la juiverie. Voir : La rue du puits juif y rappelle le quartier juif des, Le nom de la rue aux Juifs d'Argentan n'aurait pas pour origine la présence de Juifs, car sa première dénomination aurait été rue aux Jouis, patronyme d'une famille de bouchers argentanais, selon l'office de tourisme d'Argentan. Voir, Ce cas est unique en France et date de 1391 (voir, Son nom complet est en effet Square des Juifs, victimes du nazisme. -Bonanas ou Bonanasc de Biterris [Montpellier 1293-1304] (REJ, XIX, 278 et 279). Quant à Jugeals, une étymologie possible en est judaeus[176]. nasc : forme de «nasques », 3° personne singulier du subjonctif imparfait de «naisse » (naître), donc «qu'il naquit » en français. Des rabbins modernes sont aussi honorés, tels le rabbin Joseph Bloch[166] à Haguenau, le grand-rabbin Joseph Cohen à Bordeaux et le grand rabbin de France Jacob Kaplan à Paris, les grands rabbins René Hirschler, Jacob Meyer[145], Abraham Deutsch et Max Warschawski à Strasbourg. D'autres rabbins, morts en déportation, sont cités dans le paragraphe de cet article consacré à la Shoah. En Alsace, à Colmar, et en Lorraine, à Farschviller, existent une voie ou un lieu-dit appelés Judenloch (fosse aux Juifs). Other readers will always be interested in your opinion of the books you've read. À Toulouse, la rue Joutx-Aigues, dans le quartier de la Dalbade, dans le quartier juif du Moyen Âge, peut donner lieu à deux étymologies comme l'indiquent les plaques de cette rue[51]: joutx-aigues viendrait de josaica (« judaïque » en occitan) ou de judeis aquis, qui désigneraient les eaux juives donc le mikve (bain rituel juif). … : You are free: to share – to copy, distribute and transmit the work; to remix – to adapt the work; Under the following conditions: attribution – You must give appropriate credit, provide a link to the license, and indicate if changes were made. Aaron. Abirjel. Les impasses des Juifs existent à Bellegarde (Loiret), Bourges[65], Grussenheim[113], Ingwiller[114], Lurcy, Méré (Yonne), Pont-de-Veyle, La Réole, Rouffach[115], Schwindratzheim[104] et Vaudelnay. You can write a book review and share your experiences. Non loin de là, le nom du parc de Montjuzet rappelle aussi la présence juive[49]. Elle a aussi laissé une « rue des bonnets carrés ». Ces deux noms sont portés par des juifs du Sud de la France et d'Espagne. Abitbol. Et, bien sûr, l’incontournable Wesoly : joyeux…. Voir, Livry servit de refuge à des Juifs chassés de M0elun au, La dénomination « rue des Juifs » ne daterait que du. pp. On trouve deux lieux-dits les Hébreux à Leuze (Aisne) et à Martigny (Aisne), un mont Hébreu à Stonne et une vallée des Hébreux à Saint-Christophe-sur-Avre. Les rues ou places de Jérusalem peuvent aussi évoquer la communauté juive comme à Aix-en-Provence ou Avignon[165] où dans les deux cas se situe la synagogue. DOI : https://doi.org/10.3406/onoma.1985.925, www.persee.fr/doc/onoma_0755-7752_1985_num_5_1_925, SUR QUELQUES NOMS PORTÉS PAR LES JUIFS DE FRANCE AU MOYEN ÂGE *. indique l'utilisation des termes rue juive La seule méthode sérieuse consiste à reconstituer son arbre généalogique jusqu'à obtenir des documents indiscutables ». Abensur. La ville de Lyon a nommé une place en l'honneur du rabbin Bernard Schonberg, mort en déportation[182]. Enfin, la rue où se situe la synagogue de Cavaillon[118] se nomme rue hébraïque. Abensur. In: Nouvelle revue d'onomastique, n°5-6, 1985. Les noms de Jirifs au Moyen Age Vers Tan 1250, les Juifs étaient au nombre de 120 à Paris, Heureux temps, quand ou songe qu'à la veille de la Révolution, ils étaient 50,000 dans cette ville qui leur était interdite, et qu'il y en avait près d'un million dans le seul département de la Seine, au début de 1940 ! Aboulafia. Enfin, pour conclure en beauté, les noms reprenant une qualité de celui qui le porte : Erlich : honnête, Frum : pieux ; Gottlieb : aimant Dieu, Gutman : bon, Grossman : grand, Reichman : riche, Stark : fort. Nous nous proposons d'étudier ici certains de ces noms portés par les juifs, en l'occurrence : 1) Bonanat, 2) Bonisac, 3) David, en ce qui concerne soit leur origine soit leur évolution. Le plus illustre rabbin français, Rachi, possède deux rues à son nom, à Troyes et à Ramerupt. Cette étude consacrée aux noms des juifs de Paris s’appuie sur, et complète, l’ouvrage de Gérard Nahon intitulé Inscriptions hébraïques et juives de France médiévale, publié à Paris en 1986. On trouve un coteau appelé Beim Juden (chez le Juif)[110] à Nousseviller-lès-Bitche et un lieu-dit Im Juden (chez le Juif) à Reutenbourg, des lieux-dits Judenacker (champ des Juifs) à Eckwersheim et Weitbruch ou Judaacker, rebaptisée rue de la Gendarmerie à Durmenach et Judenanwand (le mur des Juifs) à Eckwersheim, des lieux-dits le Judenberg (le mont des Juifs) à Gomelange, Reichshoffen, Rimsdorf et Saverne (site du cimetière juif de Saverne)[132], Judendrisch à Kerling-lès-Sierck, une rivière appelée Judengraben (fossé aux Juifs) à Buhl-Lorraine, un vallon appelé Judenhohl (cave aux Juifs) à Bitche, un hameau appelé Judenhof (la cour des Juifs) à Petit-Rederching[110], un mont Judenhuebel à Obersteinbach, et des lieux-dits Judenhut (le chapeau des Juifs[133], encore que certains contestent cette origine[134]) à Murbach et Ribeauvillé, un bois Judenlach (le rire des Juifs) à Saint-Avold, des lieux-dits Judenmatt à Obermodern-Zutzendorf, Rosenwiller (Bas-Rhin), et Rouffach et Judenmatten à Aspach-le-Bas, un lieu-dit Judenpfad (sentier des Juifs) à Furchhausen, une vallée Judenthal à Mouterhouse, un lieu-dit Judentanne (sapin des Juifs) à Ottrott, et un lieu-dit Judenthor (porte des Juifs) à Romanswiller, un bois Judenwald (forêt des Juifs) à Siersthal et à Richwiller, un lieu-dit Judenweg (chemin des Juifs) à Haguenau, un lieu-dit Judenbrand (là où on brûle les juifs) à Herrlisheim-près-Colmar[135]. Le choix du prénom mérite une attention et un sérieux tout particuliers car il inscrit l’être humain dans l'histoire, et d'une certaine façon lui ouvre le chemin du future. Buchy[2], Bué, Bugnicourt, Buis-les-Baronnies Buxy, Caen, Cambrai, La Carneille[1], Castilly (Hamel aux Juifs), Cerisy-la-Salle[2] (rue aux Juifs), Chablis[5], Chaillon, Châlons-en-Champagne[8], La Chapelle-Gaceline, Charny (Côte-d'Or)[68], Charny-sur-Meuse, Chartres[69], Chaumont-Porcien, Chéhéry, Chevillon, Chuisnes, Cires-lès-Mello, Clermont-Ferrand[48], Commercy, Corny-Machéroménil, Coullemont, Courtenay (Loiret), Cousolre, Crasville (Manche)[2], Darnétal, Daubeuf-la-Campagne[2], Dominois, Dompierre-sur-Helpe, Douai, Drachenbronn-Birlenbach[70], Dury, Écardenville-la-Campagne, Échenoz-la-Méline, Épernon, Escarmain, Esquéhéries, Estrun, Étréaupont, Étrepy, Fénétrange[71], Ferreux-Quincey, Flavy-le-Martel[72], Florent-en-Argonne, La Folie (Calvados)[2], Fontaine-Guérin, Fontenay (Eure), Foucaucourt-sur-Thabas, Fraillicourt (cour Juifs), Francourville, Fresnois-la-Montagne, Frœningen[73], Gaillefontaine[2], Gamaches-en-Vexin, Gauville (Somme), Gennes (Maine-et-Loire), Gerstheim[74], Gespunsart, Giverny, Gondrecourt-le-Château, Gonnelieu, Gorron, Gourdon (Lot), Les Grandes-Ventes[1], Granville[75], Gray (Haute-Saône) (chemin du cimetière des Juifs), Certains personnages de la Bible sont identifiés au judaïsme, beaucoup plus qu'au christianisme. Abrahamson. Plaque de la rue des Juifs à Bergheim[62], Le chemin de la montée des Juifs à Gennes (Maine-et-Loire). En Saône-et-Loire existe un village de Juif, Villa Judaeis (969-970) viendrait d'un nom d'homme Juif. Nous croyons cependant qu'il en est ainsi et nous allons essayer d'étayer notre hypothèse. Elle constitue une synthèse à laquelle j’ai adjoint l’apport des manuscrits, les résultats de mes recherches épigraphiques et l’éclairage des sources documentaires contemporaines1. Sainte-Marguerite-sur-Mer, Sancerre[101], Sarre-Union[102], Sarrey, Schalbach[71], Schirrhoffen[103], Schweighouse-sur-Moder[104], Schwenheim[104], Senaide, Senonches, Seppois-le-Bas[105], Sommevoire, Soppe-le-Bas[106], Soufflenheim, Souvigny, Strasbourg[107], Suèvres, Tarascon[108],[28], Théméricourt, Thenelles, Thézey-Saint-Martin, Thièvres (Pas-de-Calais), Le Titre, Trannes, Trois-Fontaines-l'Abbaye, Tronville, Valmy, Varennes-en-Argonne, Vaudrey, Vauvert[109], Vaux-lès-Rubigny, Vecqueville, Velet, Vertrieu, Vertus, Villebon (Eure-et-Loir), Villenave-d'Ornon (Île des Juifs), Villers-lès-Mangiennes, Villers-l'Hôpital, Villiers-Fossard, Vironchaux, Vittonville, Le Vrétot[2], Volmunster[110], Walschbronn[110], Westhoffen[111] et Wissembourg[112]. You can write a book review and share your experiences. Interdits d’habitation au sein de la cité, ils s’installent dans les faubourgs où ils acquièrent le droit de faire commerce d’orfèvrerie et de prêter de l’argent. The fact that all his work is essentially bundled in one book, does not deny his importance in the Berber literature growth. Notez les noms des producteurs au bas des affiches de cinéma : vous retrouverez les mêmes noms que sur les plaques d’immeuble des dentistes, médecins, avocats, notaires. Dans le Vieux-Nice, la rue Benoît-Bunico est aussi identifiée par des plaques en niçard indiquant Carriera de la judaria (rue de la juiverie). Dans le 3e arrondissement de Paris, un jardin Anne-Frank a été inauguré le 20 juin 2007, au 14 impasse Berthaud ; le square du Temple est de même devenu, le 29 juin 2017, "Square du Temple – Elie-Wiesel". La place est inaugurée le 30 juin 2019 par Anne Hidalgo[171]. Sunday to Thursday: ‬09:00-17:00. A . Elle disparut lors de l'extension du palais de justice. Abovici. Abbas. Pour ce qui est des rues, les toponymes juifs les plus courants sont les « rues de la Juiverie », les « rues des Juifs » ou encore les « rues aux Juifs ». Toutefois, certains toponymes, comme « la Palestine » ou « la Judée » à Quimper, à La Roche-Maurice, à Saint-Divy en Finistère ou, en Ille-et-Vilaine, au Vivier-sur-mer, peuvent n'avoir aucun rapport avec la présence de Juifs[50]. C'est l'un des quinze noms de famille les plus répandus en France, on le rencontre notamment dans le Nord-Pas-de-Calais et en Picardie. François Carré, « Des "voisins" méconnus : Un groupe de toponymes de zones humides d’origine germanique ? En 1946, l'historien Robert Anchel, cité par Gérard Nahon, recensait 191 toponymes juifs en France[1]. indique l'utilisation d'un autre terme désignant les Juifs. De même, Lévis-Saint-Nom connu jusqu'à la Seconde Guerre mondiale comme Lévy-Saint-Nom ne semble avoir aucune origine juive[173]. Abergel. The Great Amazigh Civilization Apuleius (123 A.D – 180) the Famous Berber writer We cannot talk about Berber literature without referring to Apuleius who belongs to an era where literature was at the dawn of its expansion before the Renaissance comes to the world. indique l'utilisation du terme juiverie Il faudrait que vous fassiez un tour dans de pays sans juifs (genre Afghanistan Pakistan etc ) vous verrez la différence . nat : participe passé du verbe provençal «naisse » (naître), donc «né » (Mistral, II, 393 et. Pour la plupart, ces noms de rues remontent au Moyen Âge sauf en Provence, d'où les Juifs ne furent expulsés qu'au début du XVIe siècle, et en Alsace, où l'implantation juive fut parfois plus récente. Selon le professeur Norman Golb, l'expression « rue aux Juifs » était une traduction du terme vicus judaeorum que les Romains appliquaient, à l'origine, au quartier ou au faubourg et éventuellement à la rue principale du quartier juif. Il existait aussi une rue des Juifs, ou carreiròt (ruelle) qui débouchait sur la rue Joutx-Aigues ː elle est aujourd'hui disparue. Voir, On trouve des Juifs à Augny depuis 1644. Il n'est pas communément accepté que ces deux noms soient de même origine et aient le même sens. Abisror. Aujourd'hui, grâce à Internet et les sites de cartes géographiques, on peut en recenser plus de 400 auxquels se sont ajoutés ceux qui commémorent la Shoah. Cela dit, oui Vidal est un nom juif du Midi de la France qui signifie la vie ; il traduit le prénom Hayim, vie , vivant. Le mot « juiverie » se retrouve dans de nombreux noms de places, rues ou impasses en France. La question mérite en tout cas d’être posée. Il arrive que des municipalités donnent à certaines rues le nom des villes avec lesquelles elles sont jumelées. Il y a toutefois des noms souvent portés par des Juifs et des noms rarement portés par des Juifs. Abahel. Orthographe des noms … On peut citer Agde, Cherbourg-Octeville, Nancy[187], Paris (allée des Justes de France), Strasbourg (allée des Justes parmi les nations) et Surgères. Abouhatséira. Les nazis aussi créeraient des listes de noms qui paraissaient anodines mais qui avaient de lourdes conséquences . Abarbanel. On peut se reporter à, Archives israélites, publié par Bureau des archives israélites, 1898, Page 247, Procès-verbaux, par Commission du vieux Paris, Commission du vieux Paris, publié par Imprimerie municipale., 1902, page 152, La présence juive à Bellac remonte au moins au, Les Juifs étaient astreints au port du chapeau pointu (voir. You must have JavaScript enabled to use this form. Il y a aussi beaucoup de noms de famille a consonnance Germanique, qui sont effectivement originaires de l'Est de l'Europe, mais sont protestants, en fait les noms de famille identiques sont soit juifs, soit chrétiens :protestants ou catholiques. Une place Henri Schilli est nommée à Montpellier en l'honneur de ce rabbin qui a exercé à Montpellier, à ses risques et périls pendant la Seconde Guerre mondiale, la fonction d’aumônier juif des camps du sud de la France[168]. a) Elie de Mïlhaud = Liotin L'Isle 1734 (Kohnstamm 273) a) Israel de Beaucaire — Isseron L'Isle 1744 (Kohnstamm 272) Aboulker. Abettan. Quelle est l'origine de ces noms ? • en Espagne et au Portugal, les noms comme RODRIGUEZ (Espagne) ou RODRIGUES (Portugal) ou bien La rue aux Juifs se trouve d'habitude dans le quartier le plus ancien de la ville ou du village. Vous recherchez des idées de prénom pour votre bébé ? * Pour plus ample information, voir mon article sur «L'onomastique des juifs en France aux 13° et 14° siècles » dans la Revue des Études Juives, CXL, 1981, p. 139-192. Aboulafia. À Paris, la place Moussa-et-Odette-Abadi perpétue depuis 2008 le souvenir d’un couple qui sauva des enfants juifs. -Bonanasc de Lodève [Largentière (Ardenne, 1293] (REJ, XXIII, 269). Abramovic. Abisseror. Whether you've loved the book or not, if you give your honest and detailed thoughts then people will find new books that are right for them. Abentsour. Abisror. « Le conseil de l'Ordre des médecins de l'époque restait muet » rappelait-il. Ces rues actuelles ne représentent pas tous les lieux où étaient présents les Juifs comme le montre la carte de Normandie publiée par Norman Golb ou encore l'étude de Frédéric Viey sur les Juifs de Picardie (toutes deux indiquées en liens externes). -Bonanat ou Bonanash [Bésalu (Espagne), 1257-1262] (Régné, Hist., n° 86 et 168). -Bonanat ou Bonanasch [Villafranca (Espagne), 1294] (Régné, Hist., n° 2533). Il existe à Paris dans le XVe arrondissement la place des Martyrs-Juifs-du-Vélodrome-d’Hiver et à Royan le square des Juifs, honorant les victimes royannaises juives du Nazisme[178]. Abramovich. Niedervisse[88], Nogent-le-Roi (rue du pont aux Juifs), Norrey-en-Auge[2], Noyal-Muzillac, Nyoiseau, Obernai[89], Orléans[90], Ollé, Pagny-la-Ville, Palinges, Péronne[84], Péroy-les-Gombries, Pertuis (Vaucluse) (voie communale du cimetière des Juifs)[28], Pierregot, Pipriac (la Noé aux Juifs), Piseux (La Noé juive)[1], Pissotte, Plainfaing, Plomion, Poix-du-Nord, Pompierre-sur-Doubs, Pont-Hébert[2], Pourcy, Préaux[2], Prisces, Provins[91], Quiévy, Quincampoix[2], Regnauville, Réguisheim[92], Reichshoffen[93],Remilly-sur-Lozon[2], Résigny, Ribeauvillé[62], Richwiller[94], Riquewihr[95], Rothonay[96], Rouen[2],[97], Rougemont (Côte-d'Or), Rougemont (Doubs), Rue (Somme), Rumaucourt, Ry (Seine-Maritime)[2], Sablé-sur-Sarthe, Sains-Richaumont, Saint-Alexandre (Gard) (Pas des Juifs), Saint-Blimont, Saint-Denis-d'Anjou, Saint-Denis-de-l'Hôtel (rue des Juifs, et rue de Faux Juif), Saint-Dié-des-Vosges[98], Saint-Florentin (Yonne)[5], Saint-Genix-sur-Guiers, Saint-Gondon[99], Saint-Lambert-des-Levées (rue juive), Saint-Laurent-Nouan, Saint-Martin-d'Ablois, Saint-Maurice-sur-Aveyron, Saint-Nicolas-de-Port, Saint-Pierre-de-Bailleul, Saint-Pierre-Tarentaine[2], Saint-Rémy (Côte-d'Or)[100], Saint-Souplet,