Cela nécessiterait en réalité une modification du règlement, « car de fait, il est inéligible. Philippe Bas, jusque-là si discret sénateur Les Républicains de la Manche, est devenu l’une des stars de cet été 2018. Un président de commission des lois qui contourne la règle, ce serait original. Ou que le droit ne l’est pas toujours. Pour départager les potentiels candidats, un vote interne à bulletin secret est prévu le lundi 5 octobre. François-Xavier Lauch, Alexis Kohler, ou encore Patrick Strzoda, trois hauts fonctionnaires de l’Élysée auditionnés par la commission d’enquête du Sénat invoqueront tous pour justifier leur présence au Sénat « l’autorisation » du chef de l’État. Après les sénatoriales, c’est l’autre élection. Président de la commission des lois au Palais du Luxembourg, c'est en effet lui qui dirige la commission d'enquête sénatoriale chargée de faire la lumière, toute la lumière, sur les tenants et aboutissants de l'affaire dite Benalla alors que la commission de l'Assemblée nationale, elle, s'est crashée en chemin. Le reportage est sobrement intitulé : « Philippe Bas, l’homme qui fait trembler l’Élysée »  (à revoir ici) : Avec La Presse de la Manche, retrouvez l'actualité qui vous concerne, © 2020 actu.fr, détenu et coexploité par Bas aimerait y retourner. Profiter de l'affaire Benalla pour dévoiler, pour dénoncer, pour démonter, la véritable nature, par essence dangereuse selon lui, du macronisme. A lire aussi : Richard Ferrand élu président de l’Assemblée nationale. Celle des postes à responsabilité à la Haute assemblée. Ça fait 10 ans que je suis à la commission, j’ai présidé mon département 14 ans et je suis de formation médicale. Catherine Dumas pourrait aussi être tentée. Like. Abonnés. Conformément à la loi informatique et liberté du 6 janvier 1978, mise à jour par la loi du 6 août 2004, vous disposez d'un droit d'accès, de rectification et d'opposition aux données vous concernant en écrivant à l'adresse abonnements@challenges.fr, Votre inscription a bien été prise en compte, Sénatoriales : ces élections que tout le monde pense avoir gagnées, Entrez votre email pour recevoir la newsletter. et ses filiales. Le Sénat ne veut pas l’entendre sur les violences du 1er mai pour lesquelles il est mis en examen : « nous ne lui poserons aucune question en lien avec des faits qui font l’objet d’une enquête judiciaire ». Ce n'est pas vrai, vous ne l'êtes pas". Reply. Du bel ouvrage-médiatico-politique présenté comme la "revanche" du "vieux monde"- le sénateur Bas d'ailleurs s'en revendique avec fierté- contre le "nouveau monde" macroniste accusé "d'arrogance", l'un des gimmicks politiques du moment. Le sénateur Bas, sans doute emporté par sa soudaine notoriété, se laisse lui aussi aller à cette caricature ultra du macronisme, à l'envers de l'image modérée et sereine qu'il s'était construit d'une audition à l'autre. » répond aussi sec un sénateur LR. Pour le remplacer, deux candidats sont sur les rangs : René-Paul Savary, vice-président de la commission d’enquête sur le Covid et Catherine Deroche, qui en est la co-rapporteure. Le règlement pourrait être modifié » explique-t-on. Philippe Bas veut faire la lumière sur le fonctionnement de l’État : Nous devons poursuivre notre travail dans la sérénité, bien que sous les projecteurs médiatiques. Elle n’avait pas pu se présenter à la questure car elle venait d’être secrétaire du Sénat. L’ex-chargé de mission de l’Élysée s’y est résolu, fustigeant les sénateurs et en particulier l’élu manchois qu’il a traité de « petit marquis » selon des propos rapportés par France Inter. Il ne peut théoriquement plus se présenter. Il faut que les uns et les autres retrouvent la sérénité. « Je serai candidat à ma propre succession » annonce le sénateur UDI des Hauts-de-Seine. Ou plus précisément, aucune limite de temps n’est prévue pour les postes. Aux 7.209 euros bruts de l'indemnité parlementaire mensuelle du sénateur, s’ajoutent pour les postes à responsabilité des indemnités de fonction supplémentaires : 4.196 euros pour les questeurs, 2.061 euros pour les présidents de commission et les rapporteurs généraux, d'après les chiffres de 2017. Tout ceci, ce n’est pas la politique du nouveau monde telle que je la conçois. Ce qui n’est pas sans poser problème. C’est ma seizième année. Le sénateur lui rétorque : Quand on ne peut pas critiquer le travail qui est fait, on critique les personnes. Aux 7.209 euros bruts de l'indemnité parlementaire mensuelle du sénateur, s’ajoutent pour les postes à responsabilité des indemnités de fonction supplémentaires : 4.196 euros pour les questeurs, 2.061 euros pour les présidents de commission et les rapporteurs généraux, d'après les chiffres, Le socialiste Claude Raynal pourrait remplacer Vincent Eblé pour la présidence de la commission des finances. Nous nous étions égarés, et ses confidences au Monde en attestent. Et Philippe Bas n’est pas du genre à transgresser le règlement ». Retweet. Il n’a pas à décider s’il veut venir ou pas venir. #Direct Un peu agacé, le président de la commission d'enquête Philippe Bas vient de poser une batte de base-ball sur son pupitre. Après avoir refusé dans un premier temps d’être entendu par la commission d’enquête du Sénat, Alexandre Benalla répondra finalement, au terme d’un bras de fer, à la convocation de Philippe Bas qui préside cette instance parlementaire ; l’audition devrait avoir lieu mercredi prochain. ACPM, En renseignant vos informations, vous avez pris connaissance de notre, Affaire Benalla : Philippe Bas décidé à aller jusqu’au bout, Lignes SNCF Cherbourg-Paris : la Manche investit 4 millions d'euros dans le saut-de-mouton, Déchèteries du Cotentin : découvrez les jours et horaires d'ouverture à partir du 1er octobre, Tourlaville : la piscine de Collignon est fermée le temps de réparer un problème technique, Manche : un cycliste décède après une collision avec un tracteur, Fuite de gaz à Cherbourg : les 62 appartements d'un immeuble évacués, OFFICIEL : le sous-marin Perle, incendié à Toulon, va être ramené à Cherbourg pour expertise. A lire : Alexandre Benalla, « contraint », accepte de se rendre devant la commission d’enquête du Sénat. Search query Search Twitter. Si le maintien de Gérard Larcher à la tête du Sénat ne fait aucun doute, tout comme la présidence du groupe LR à Bruno Retailleau, plusieurs postes sont ouverts. Toute personne qui ne se présente pas à une convocation de la commission d’enquête s’expose à deux ans de prison et 7 500 € d’amende. Cherbourg : recherche figurants terrifiants pour la Marche de la terreur ! On compte pour l’heure quatre candidats : Philippe Dallier, jusqu’ici vice-président du Sénat, Christine Lavarde, Jean-François Husson et Jérôme Bascher. © Challenges - Les contenus, marques, ou logos du site challenges.fr sont soumis à la protection de la propriété intellectuelle. Voila précisément ce que le digne sénateur Bas n'avait pas daigné nous faire savoir avant de se lâcher dans les colonnes du Monde: dans son esprit, et surtout dans sa pratique à la tête de la commission sénatoriale partout et par tous encensée, l'affaire Benalla fournissait un prétexte pour mettre en scène la dénonciation du "macronisme", "incarnation des élites". Nous sommes fort loin, constatons-le, des différents épisodes Benalla. Je ne tiens pas à commenter ses déclarations. Une piste évoquée par un autre sénateur : « Les gens pourraient estimer que Bas est un très bon président et n’ont pas envie de se présenter contre lui », ce qui assurerait sa réélection. Hébergement dédié : Group DIS, Digital Ad Trust Pour compliquer le tout, on évoque la tentation de Philippe Bas pour la présidence du Sénat. Mais j’ai voté le règlement, c’est la vie ». Politique Challenges Selon l’article 9, aliéna d, il n’est pas possible de rester à une présidence de commission plus de 6 ans. M. Benalla s’est beaucoup exprimé à TF1, dans le journal Le Monde, dans le JDD… et il a exprimé son envie d’être entendu par la représentation nationale avant de se raviser. M. Griveaux, qui passe une grande partie de son temps à préparer sa candidature à la mairie de Paris, ferait mieux de s’occuper des préoccupations des Français. Il faudrait une majorité du groupe pour le voter, mais… l’idée fait sérieusement grincer des dents chez les sénateurs et on ne semble pas prendre cette direction. Il doit comme d’autres respecter la représentation nationale et la mission qui lui est donnée par la constitution. Il avoue entre les lignes dans Le Monde qu'Alexandre Benalla et ses dérapages ont été utilisés pour intenter un procès en illégitimité au président de la République. Il avait pu passer d’une vice-présidence du Sénat à la présidence de la commission des affaires étrangères » se rappelle Catherine Procaccia. « Je considère que c’est une candidature incontestable et incontestée. « Le faire à chaud, ça ne va pas être possible » estime ainsi un sénateur. Alexandre Benalla qualifie Philippe Bas de « petit maquis » Pas maintenant, mais d’ici 3 ans. Au passage, La République en marche en prend aussi pour son grade, mais c'est (presque) secondaire: "le parti n'existe pas, il n'a pas de racines idéologiques, pas de racines territoriales, pas d'expérience politique". Regardez Jean Bizet (images de Fabien Recker) : Les postes du bureau du Sénat, avec les vice-présidences, questeurs et secrétaires sont aussi en jeu, d’autant qu’ils sont limités à 3 ans, selon le règlement interne au groupe LR. A lire aussi : Philippe Bas, politique médiatique de l’été. Jean Bizet n’y retourne pas, « pour la bonne raison que le règlement me l’interdit » dit-il, « et le règlement s’applique à tout le monde. Car le sénateur de la Manche pourrait s’appuyer sur la jurisprudence Raffarin. Ce serait dommage qu’il ne puisse plus être président » souligne le sénateur du Nord, Marc-Philippe Daubresse, « après, il y a un règlement. En 2008, j’ai fait partie de ceux qui ont voulu un changement de règlement car on avait les mêmes qui étaient présidents de commission ou vice-présidents pendant 8 ou 10 ans. le 12.08.2018 à 09h28, mis à jour le 12.08.2018 à 11h20 En quelque sorte du bel ouvrage démocratique et républicain, une façon aussi de rehausser le prestige de "sa" maison, le Sénat. Comment expliquer le cas Philippe Bas ? La règle interne veut qu’on ne reste pas plus de trois ans au même poste, exception faite pour la présidence du groupe. 423 Retweets 1,600 Likes 15 replies 423 retweets 1,600 likes. Ce mercredi 12 septembre dans l’émission Quotidien sur TMC, Philippe Bas a répondu à la journaliste Salhia Brakhlia, à propos des questions qui seront posées à Alexandre Benalla le 19 septembre prochain. « On avait fait une exception pour Jean-Pierre Raffarin il y a 6 ans en tant qu’ex-premier ministre. Dans cet esprit de dénonciation, on comprend mieux pourquoi Philippe Bas a cogné si fort le plus proche collaborateur du chef de l'Etat, Alexis Kohler. (voir l’extrait du règlement ci-dessous). « A la questure, il va y avoir foule » glisse un sénateur. Les questeurs gèrent notamment les finances du Sénat, les vice-présidents président à tour de rôle la séance et ont aussi des fonctions de représentation. Mais si Philippe Bas ne se présente pas, on cite comme potentiels candidats Muriel Jourda, qui était co-rapporteure de la commission d’enquête Benalla, ou François-Noël Buffet, candidat à sa réélection dans le Rhône et déjà vice-président de la commission. Cantines, et si on changeait de recette ? Aux affaires européennes, même topo. Je réunis un certain nombre de conditions » dit René-Paul Savary. Il a parfois des capacités de flexibilité, il peut être contorsionné. Ce qui nous intéresse, c’est le fonctionnement de l’État. Hier matin, le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, s’en est pris à Philippe Bas en l’accusant d’en faire « une aventure politique personnelle ». Elle se joue en petit comité. Retweeted. Et le renouvellement apporte toujours quelque chose » explique Catherine Procaccia, qui n’oublie pas que « ce règlement, on me l’a appliqué en 2014 ». La Cnil va enquêter sur le "fichage politique" des tweets liés à l'affaire Benalla, Affaire Benalla: la commission d’enquête sénatoriale excède les macronistes, Affaire Benalla: quatre questions sur la double motion de censure du gouvernement, Affaire Benalla : la commission d'enquête à l'Assemblée nationale implose, Pour réagir, veuillez vous connecter en cliquant ici, Budget: "exercice assez confus" pour LR, qui "ne répond pas à l'urgence" pour le PS, Fermeture anticipée des bars: "brutal" pour les maires EELV de Lyon et Bordeaux, Sénatoriales: le scrutin est clos, des élus dès le premier tour, Le député qui veut dynamiter la fiscalité. Dans l’entourage de Philippe Bas, on se refuse à tout commentaire sur la question de la présidence de la commission des lois. L’affaire Benalla revient sur le devant de la scène avec un ton politique. Élections sénatoriales : qui sont les nouvelles sénatrices ? Après maintes auditions, la presse, et en particulier celle plutôt rangée "à gauche" (Le Monde et Libération), encense le sénateur Bas, le couvre d'éloges- "courtois, ferme, intransigeant, caustique"- souligne sa dextérité intellectuelle et juridique pour diriger les débats, pour passer sur le grill de ses questions et remarques les différents protagonistes et, par exemple, "allumer" méchamment- mais d'un ton courtois, forcément courtois- l'actuel secrétaire général de l'Elysée, Alexis Kohler. Ce qu’il faut retenir de ce lundi matin dans la Manche… et ailleurs, Cherbourg : après le décès de leur maman dans un accident, ses jeunes enfants croulent sous les dettes, Ouverture de la chasse dans la Manche : 14000 passionnés retrouvent leur loisir dans la convivialité, Cherbourg : il planquait des stupéfiants dans son caleçon, Cotentin : deux logements communaux vont être créés sous l'impulsion du conseil départemental, Cotentin : un vieil homme victime de démarches abusives, l'accusé obtient la relaxe, Un nouveau clip tourné dans le Cotentin : la chanteuse Denize attend "la vague", À Cherbourg, Bruno veut créer un parcours de santé pour les chiens, Météo : encore une journée lumineuse dans la Manche, Handball, basket, rugby, roller-hockey : les résultats de ce week-end dans la Manche, Cherbourg : Un nouveau magasin pour remplacer l'ancien office de tourisme, Cotentin : le mari violent espionnait sa femme, Football : les résultats de ce week-end pour les équipes de la Manche, Cherbourg-en-Cotentin : la colère du club de gym après la fermeture du Cosec pour insalubrité, Manche : le top 10 de nos articles les plus consultés cette semaine, Érosion dunaire : dans le Val de Saire, le dossier autour du site de Fréval fait toujours débat, Cherbourg : il se met nu dans l'hôpital et glisse sa main dans la culotte d'une patiente, Le maître-autel de Flottemanville est entre des mains expertes pour sa restauration intégrale, Cherbourg-en-Cotentin : le point sur les nouveaux chantiers en cours, Une nouvelle commune du Cotentin opte pour des caméras de surveillance. Une commission des lois devenue commission d'enquête La procédure la plus courante est de créer, de toute pièce, ad hoc, une commission d'enquête. Mais certains répondront qu’il y a la loi et l’esprit de la loi. C'est Philippe Bas qui en convient. Pas facile de changer les règles au dernier moment. Elle continue : « Je fais partie des sénateurs élus depuis pas mal de temps. Au moins ces confidences nous permettent-elles de ne plus être dupes: Alexandre Benalla et ses dérapages ont été utilisés pour intenter un procès en illégitimité au président de la République. « Je suis candidat. Votre adresse nous sert à envoyer les newsletters qui vous intéressent. Attachons-nous alors à lire et relire Bas dans le texte pour mieux (le) comprendre. Naval Group Cherbourg : la responsable des sous-marins nommée Femme de l'industrie 2020 ! Les choses sont claires. On compte parmi les prétendants Catherine Procaccia, Alain Houpert, Charles Guené et Antoine Lefèvre. Mis sous le feu des projecteurs par la commission d’enquête Benalla, l’ancien secrétaire général de l’Elysée est unanimement salué pour ses qualités. Il n'est donc pas surprenant que, dans ce contexte, notre confrère Olivier Faye du Monde, par ailleurs remarquable spécialiste de l'extrême-droite française, consacre un article ultra sympathique au sénateur Bas auquel il a rendu visite sur ses terres de la Manche. Ce n'est pas nous qui, soudain, frappés par les chaleurs estivales, avons mal lu ou mal compris; non, c'est le sénateur Bas qui le dit, l'affirme et le répète sans aucun complexe ni prudence -qualité pourtant sénatoriale. Du côté du groupe Union centriste, la règle est simple : il n’y a en a pas. « Ah non ! Mais si Philippe Bas ne se présente pas, on cite comme potentiels candidats Muriel Jourda, qui était co-rapporteure de la commission d’enquête Benalla, ou François-Noël Buffet, candidat à sa réélection dans le Rhône et déjà vice-président de la commission. Pour les autres postes, notamment les deux vice-présidences qui pourraient revenir au PS, les discussions sont en cours en interne. Ce que regrettent déjà certains sénateurs. Ce n’est pas une fonction à vie. La République en marche, Par Pas question de franchir la ligne rouge de la séparation des pouvoirs : En tant que président de la commission des lois, je suis le gardien de cette règle et j’y veille avec une vigilance sourcilleuse ». "Le pouvoir, affirme-t-il, se montre tel qu'il est. Publihebdos 5:47 AM - 21 Jan 2019. Philippe Bas, jusque-là si discret sénateur Les Républicains de la Manche, est devenu l’une des stars de cet été 2018. Les propos désobligeants de l’ancien garde du corps d’Emmanuel Macron n’entament pas la détermination du sénateur LR de la Manche : M. Benalla est un homme en grande difficulté. Albéric de Montgolfier, au poste de rapporteur général de la commission des finances, Alain Milon, à la commission des affaires sociales et Jean Bizet, à la tête de la commission des affaires européennes, sont tous trois concernés, étant en poste depuis 2014. Or Philippe Bas occupe le poste depuis 2014. « Effectivement, il y a un vrai sujet et je ne sais pas comment ils vont en sortir. Liked. Eh bien, nous voulons entendre ce qu’il a à dire. Ce qui n’arrange pas les affaires de Philippe Bas, c’est que les autres présidents de commissions acceptent le règlement. Les choses se passent normalement dans cette commission d’enquête. Mais si Philippe Bas ne se présente pas, on cite comme potentiels candidats Muriel Jourda, qui était co-rapporteure de la commission d’enquête Benalla, ou François-Noël Buffet, candidat à sa réélection dans le Rhône et déjà vice-président de la commission. C'est Philippe Bas qui l'avoue. Une discussion – et un vote – entre amis. Saved searches. Le placide sénateur Philippe Bas s'est en réalité investi d'une mission... idéologique! Jean Bizet : « Le règlement du groupe LR s’applique à tout le monde », Publié le : 24/09/2020 à 19:45 - Mis à jour le : 24/09/2020 à 19:49, Covid-19 : pas de « clusters par promotions », selon Frédérique Vidal, Sénat : nouveau groupe écolo, cherche président(e) de groupe. Pourrait-on avoir une exception pour Philippe Bas ? Pas de jurisprudence Bas alors ? Le problème vient du règlement interne au groupe LR. Cherbourg : Le Mur inaugure sa 20e fresque signée Homek, Cherbourg : en moto cross et sans casque, un jeune homme se blesse en voulant fuir la police, INFO EXPRESS. Philippe Bas, jusque-là si discret sénateur Les Républicains de la Manche, est devenu l’une des stars de cet été 2018. C’est théoriquement parfaitement possible. Vous incarnez les élites françaises du CAC40 et de l'administration réunies et vous voulez vous faire passer pour des révolutionnaires. Remove; In this conversation Commission d'enquête covid-19 : Agnès Buzyn et Sibeth Ndiaye sur le grill, Pom-pom boys, petite brigade contre le sexisme, « On ne change pas un règlement huit jours avant une élection », Quatre candidats, dont Philippe Dallier, pour être rapporteur du Budget, Jean Bizet : « Le règlement s’applique à tout le monde », Une « foule » de candidats pour la questure, Les questeurs gèrent notamment les finances du Sénat, les vice-présidents président à tour de rôle la séance et ont aussi des fonctions de représentation. Après qu'ont été rappelées les différentes étapes de la carrière dudit Bas, le discours médiatique dominant insiste tout particulièrement sur son enracinement territorial dans la Manche, en contre-exemple du macronisme qui, lui, serait par définition hors sol- l'une des récurrences de l'extrême-droite et de Laurent Wauquiez contre le chef de l'Etat. Quant à Hervé Marseille, à la tête du groupe, il y retourne. Du côté des affaires sociales, « je respecterai le règlement » dit Alain Milon, qui ne cache pas avoir « des regrets. Y compris celui de Philippe Bas, le médiatique président LR de la commission des lois. Quant à la présidence de la commission des finances, Claude Raynal est sur les rangs. Le sénateur des Hauts-de-Seine, Roger Karoutchi, est ainsi candidat à un poste de vice-président. Il ne demandera pas sa révision. Philippe Bas, président de la commission des lois, est à la tête de la commission d’enquête du Sénat sur l’affaire Benalla. Catherine Morin Desailly, à la présidence de la commission de la culture et de l’éducation, Hervé Maurey à celle du développement durable, et le Modem Jean-Marie Vanlerenberghe, pourraient à nouveau être candidats. La fumée du macronisme va disparaître et on verra ce qu'il y a derrière: la technocratie, le narcissisme et la solitude". Mais ce ne serait pas si simple. Ex-secrétaire général de l'Elysée sous la présidence de Jacques Chirac, ex-ministre au sein du gouvernement dirigé par Dominique de Villepin, le sénateur Les Républicains de la Manche Philippe Bas, jusque-là si discret, est devenu l'une des stars de cet été 2018. A droite, c’est la lutte des places. A noter que du côté du groupe PS, Vincent Eblé devra aussi lâcher sa présidence de la commission des finances. C’est un sujet hyper compliqué et hyper sensible » confie un sénateur qui connaît bien le groupe. Si d’autres candidatures apparaissent pour les postes à responsabilité, c’est la semaine prochaine qu’elles se feront. A la commission des finances, on se bouscule un peu au portillon pour le poste prestigieux de rapporteur général du budget. Une chose est sûre : pour l’heure, aucun sénateur n’a fait acte de candidature auprès de ses collègues. J’y souscris avec sérieux, parce que la vie est ainsi faite et ça permet le renouvellement » dit l’autre sénateur LR de la Manche… Pour le remplacer, on parle de Jean-François Rapin et de Pascal Allizard. Le sénateur d'ailleurs ne se démonte pas, il assume et explique: "j'ai voulu dire à Kohler vous êtes pris à votre propre jeu. Laquelle? « Je serai candidat à ma succession » nous annonce sans surprise Patrick Kanner, à la tête des sénateurs PS depuis 2017. Sénat : Bargeton pourrait se présenter face à Patriat au groupe LREM. Opinion partagée par la sénatrice LR Catherine Procaccia : « On ne change pas un règlement huit jours avant une élection » soutient la sénatrice du Val-de-Marne. Spectateurs attentifs des séances de "sa" commission d'enquête, nous avions en effet voulu nous convaincre que ce partisan acharné de François Fillon lors de la récente campagne présidentielle ne poursuivait qu'un double objectif: obtenir la vérité dans l'affaire Benalla; établir les responsabilités de chacun sans le moindre doute possible, avec impartialité et sans aucun préjugé. Maurice Szafran C’est le meilleur » imagine Marc-Philippe Daubresse. « Si personne n’était candidat, et qu’il l’était de nouveau, je voterai pour lui sans aucun problème. A voir. Après un vote en commission et en séance.